Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
L'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) est une université francophone affiliée au réseau de l'Université du Québec.
Elle dispose de trois campus à travers l'Abitibi-Témiscamingue (ceux de Rouyn-Noranda, de Val-d'Or et d'Amos) ainsi que de dix centres régionaux au Nord-du-Québec et dans certaines autres villes québécoises.
L’UQAT offre plus de 100 programmes d’études couvrant les trois cycles d'études (baccalauréat, maîtrise et doctorat) dans des domaines variés tels que :
Création et nouveaux média·
Développement humain et social
Éducation
Gestion
Santé
Sciences appliquées (École de génie).
Avec ses 10 chaires de recherche et ses 11 unités de recherche, l'UQAT est première au Canada pour le volume de recherche par étudiant de cycles supérieurs. Une force de recherche créative dans de secteurs prometteurs :
Agroalimentaire
Communications souterraines
Développement des petites collectivités
Entrepreneuriat minier
Foresterie autochtone
Hydrogéologie
Restauration des sites miniers abandonnés
Sylviculture et ligniculture intensive
Thermoplastique et transformation du bois.
Jie Yu, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Cet article explore la culture spirituelle du tambour de bronze Bouyei et propose, via la danse somatique, une méthode innovante pour transmettre ce patrimoine et favoriser le dialogue interculturel.
A close up image of a spiny water flea. An invasive species in North America, the spiny water flea has caused extensive damage to freshwater ecosystems across Canada.
(Sam Lucy Behle)
Sam Lucy Behle, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Beatrix Beisner, Université du Québec à Montréal (UQAM), and Guillaume Grosbois, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
The invasive spiny water flea is spreading fast across Canada. Awareness is key to curtailing its growth.
Ice and snow cover on a boreal forest lake in winter (Lake Simoncouche, Saguenay, Québec).
(Noémie Gaudreault)
Canadians are no strangers to cold winters, when everything in nature appears to be frozen solid. However, under the ice cover of lakes, many animals remain active during the winter.
Couverture de glace et de neige sur un lac de la forêt boréale en hiver (Lac Simoncouche, Saguenay, Québec).
(Noémie Gaudreault)
Les Canadiens connaissent bien les hivers froids où tout semble être gelé dans la nature. Toutefois, plusieurs animaux demeurent actifs en hiver, même sous la couverture de glace des lacs.
The combined impact of increasing temperatures (2 to 8°C by 2100) and forest development in the mixed boreal forest could modify the growth and distribution of temperate species.
(Shutterstock)
Maxence Soubeyrand, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) and Fabio Gennaretti, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Research shows that the distribution of temperate hardwoods (sugar maple, red maple and yellow birch) could be shifting northward, which would have serious consequences for the boreal forest.
L'impact combiné de l'augmentation des températures (de 2 à 8°C d'ici 2100) et de l'aménagement forestier dans la forêt boréale mixte pourrait modifier la croissance et la distribution des espèces tempérées.
(Shutterstock)
Maxence Soubeyrand, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) and Fabio Gennaretti, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Des recherches montrent que la distribution des feuillus tempérés (érable à sucre, érable rouge et bouleau jaune) pourrait se décaler vers le nord, entraînant de lourdes conséquences sur la forêt boréale.
Forest fires were mostly started by lightning. Their spread was then exacerbated by a lack of precipitation and abnormally high temperatures.
(Victor Danneyrolles)
Dorian M. Gaboriau, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Jonathan Lesven, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Victor Danneyrolles, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), and Yves Bergeron, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
The forest fires of the summer of 2023 in Québec were devastating. It was the worst year in 50 years. But with climate change, the worst may be yet to come.
Les incendies de forêt ont majoritairement été déclenchés par la foudre. Leur propagation a ensuite été exacerbée par un manque de précipitations et des températures anormalement élevées.
(Victor Danneyrolles)
Dorian M. Gaboriau, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Jonathan Lesven, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Victor Danneyrolles, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), and Yves Bergeron, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Les feux de forêt de l’été 2023 au Québec ont été très impressionnants – et ravageurs. Il s’agit même de la pire année depuis 50 ans. Et avec les changements climatiques, le pire semble à venir.
Lake surrounding a mining site in Northern Québec.
(Maxime Thomas)
Maxime Thomas, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Hugo Asselin, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Mebarek Lamara, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), and Nicole Fenton, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Human activities can affect plants and have consequences for the human populations that consume them.
Lac entourant un site minier au Nord-du-Québec.
(Maxime Thomas)
Maxime Thomas, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Hugo Asselin, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Mebarek Lamara, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), and Nicole Fenton, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Les activités humaines peuvent affecter les plantes, ce qui a des conséquences pour les populations humaines qui les consomment.
The beaver lives at the intersection of the aquatic and forest environments, so its presence increases interactions between these two ecosystems.
(Shutterstock)
Miguel Montoro Girona, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Guillaume Grosbois, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), and Mélanie Arsenault, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Beavers are an important ecosystem engineer in the boreal forest and researchers are demystifying their secrets.
Le castor vit à l’intersection du milieu aquatique et forestier, ce qui multiplie les interactions entre ces deux écosystèmes.
(Shutterstock)
Miguel Montoro Girona, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Guillaume Grosbois, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), and Mélanie Arsenault, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Le castor est un important ingénieur d’écosystème en forêt boréale, mais sa dynamique d’occupation du territoire et son patron d’utilisation des huttes restent encore méconnus.
Old spruce and fir forest, over 300 years old.
(Maxence Martin)
Maxence Martin, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) and Nicole Fenton, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
L’éloignement et les dimensions modestes des arbres des vieilles forêts boréales ne doivent pas nous faire oublier leur haute importance écologique, ainsi que les nombreuses menaces pesant sur elles.
In North America, log driving is thought to have stopped by the end of the 20th century, with the exception of British Columbia, where it is still practised on a small scale.
(Shutterstock)
Logging over the past two centuries has had a major impact on Québec’s forests. The traces it has left will guide the adoption of sustainable forest management techniques.
En Amérique du Nord, la drave aurait pris fin avant la fin du 20e siècle, à l’exception de la Colombie-Britannique, où la drave est encore utilisée à petite échelle.
(Shutterstock)
L’exploitation forestière des deux derniers siècles a eu un impact majeur sur les forêts québécoises, mais les traces qu’elle a laissées guideront dans l’adoption d’un aménagement forestier durable.
Satellite image of a forest fire in July 2021 in northern Saskatchewan (Wapawekka Hills). The image covers an area of about 56 kilometres in width and is based on Copernicus Sentinel data.
(Pierre Markuse), CC BY 2.0
Victor Danneyrolles, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Raphaël Chavardès, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), and Yves Bergeron, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
North America’s boreal forests have been burning a lot, probably more and more over the past 60 years. Yet the long-term trend indicates that they are burning less than they were 150 years ago.
Image satellite d’un feu de forêt en juillet 2021 au Nord du Saskatchewan (Wapawekka Hills). L'image correspond à une zone d’environ 56 kilomètres de large et a été réalisée à partir de la base de données Copernicus Sentinel.
(Pierre Markuse), CC BY 2.0
Victor Danneyrolles, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Raphaël Chavardès, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), and Yves Bergeron, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Les forêts boréales Nord-américaines brûlent beaucoup, sûrement de plus en plus depuis les 60 dernières années. Pourtant, la tendance à long terme indique qu’elles brûlent moins qu’il y a 150 ans.
Even though chronic pain is recognized by scientists as a disease in its own right, it remains largely under-recognized, under-diagnosed and, above all, subject to many prejudices.
(Shutterstock)
Although chronic pain is recognized by scientists as a disease in its own right, it remains largely under-recognized, under-diagnosed and, above all, associated with numerous prejudices.
Même si la douleur chronique est reconnue comme une maladie à part entière par les scientifiques, celle-ci demeure largement sous-reconnue, sous-diagnostiquée et surtout accompagnée de nombreux préjugés.
(Shutterstock)
La douleur chronique est une maladie aux conséquences multiples qui méritent d’être abordées afin d’espérer des changements positifs pour les gens qui doivent composer avec cette condition.